Mocky

Genre electronic, electro, Canadian, alternative, seen live

Dominic Giancarlo Salole est né en 1974 au Canada, d’une mère anglaise et d’un père yéménite. Son talent pour la musique (piano, batterie), la composition, l’harmonie, est décelé dès l’enfance et il l’approfondit à l’université de musicologie de Toronto où il se distingue aussi en tant que bassiste. En 1994, à l'âge de vingt ans, il forme à Toronto un collectif d'artistes et musiciens issus de tous bords (classique, pop, rock, hip-hop) pour des performances live. C’est dans le cadre de ces rencontres qu’il se lie avec les musiciens canadiens Feist, Gonzales, Peaches et Sticky avec qui il forme le groupe The Shit, à l’humour déjà fantasque et dada.

Son nom de scène lui serait venu au cours d’un rêve dans lequel il s’est vu en « leader révolutionnaire, sous la forme d’un animal empaillé appelé Mocky ». La vie réelle du musicien se poursuit en Europe, à Londres puis à Amsterdam, où il vit quelques années difficiles avant de se faire remarquer en jouant des concerts improvisés dans des zoos ! Les performances scéniques de Mocky lui ont toujours permis de se distinguer, car elles reposent sur son réel talent de compositeur et multi-instrumentiste, auxquels s’ajoutent excentricité et humour, qu’il se produise seul ou avec un Mini orchestre de jazz.

Il produit son premier album In Mesopotamia en 2002, sur son label Mockyrecordings. Bien que très expérimentale, sa musique mêlant jazz, phrasé hip-hop et rythmes élémentaires lui vaut des critiques favorables et le titre minimaliste « Sweet Music » trouve sa place sur quelques compilations underground. Puis sa rencontre à Berlin avec un autre iconoclaste, Jamie Lidell, lui ouvre les portes d’une carrière de producteur et co-auteur. Il prendra ainsi part aux albums de Gonzales (The Entertainist en 2002), Puppetmastaz (Zoology, 2002), Jane Birkin (Fictions, 2006), Feist (The Reminder, 2007), Micky Green (White T-Shirt, 2007), entre autres.

Peu à peu, l’Europe prend Mocky au sérieux. Ses albums Are+Be (2004) et Navy Brown Blues (2006) sont publiés chez Four Music en Allemagne et V2 en France. Les titres « How Will I Know », « Catch a Moment in Time », « Fighting Away The Tears » (un duo avec Feist) font connaitre son jazz-hip-hop aux mélodies entêtantes et aux atmosphères contemporaines, des cabarets de Berlin au festival de Glastonbury en Angleterre.

En 2009, il publie sur le label Bruxellois Crammed Discs, Saskamodie, un album « retro-futuriste » de jazz, entièrement acoustique, enregistré à Paris aux Studios Ferber. Mocky y est crédité en tant qu’auteur-compositeur, joueur de guitare, batterie, piano et orgue, arrangeur, et considère cette nouvelle expérience comme un enregistrement live plus que comme un album studio. Cet artiste n’a pas fini de surprendre.


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Dominic Giancarlo Salole est né en 1974 au Canada, d’une mère anglaise et d’un père yéménite. Son talent pour la musique (piano, batterie), la composition, l’harmonie, est décelé dès l’enfance et il l’approfondit à l’université de musicologie de Toronto où il se distingue aussi en tant que bassiste. En 1994, à l'âge de vingt ans, il forme à Toronto un collectif d'artistes et musiciens issus de tous bords (classique, pop, rock, hip-hop) pour des performances live. C’est dans le cadre de ces rencontres qu’il se lie avec les musiciens canadiens Feist, Gonzales, Peaches et Sticky avec qui il forme le groupe The Shit, à l’humour déjà fantasque et dada.

Son nom de scène lui serait venu au cours d’un rêve dans lequel il s’est vu en « leader révolutionnaire, sous la forme d’un animal empaillé appelé Mocky ». La vie réelle du musicien se poursuit en Europe, à Londres puis à Amsterdam, où il vit quelques années difficiles avant de se faire remarquer en jouant des concerts improvisés dans des zoos ! Les performances scéniques de Mocky lui ont toujours permis de se distinguer, car elles reposent sur son réel talent de compositeur et multi-instrumentiste, auxquels s’ajoutent excentricité et humour, qu’il se produise seul ou avec un Mini orchestre de jazz.

Il produit son premier album In Mesopotamia en 2002, sur son label Mockyrecordings. Bien que très expérimentale, sa musique mêlant jazz, phrasé hip-hop et rythmes élémentaires lui vaut des critiques favorables et le titre minimaliste « Sweet Music » trouve sa place sur quelques compilations underground. Puis sa rencontre à Berlin avec un autre iconoclaste, Jamie Lidell, lui ouvre les portes d’une carrière de producteur et co-auteur. Il prendra ainsi part aux albums de Gonzales (The Entertainist en 2002), Puppetmastaz (Zoology, 2002), Jane Birkin (Fictions, 2006), Feist (The Reminder, 2007), Micky Green (White T-Shirt, 2007), entre autres.

Peu à peu, l’Europe prend Mocky au sérieux. Ses albums Are+Be (2004) et Navy Brown Blues (2006) sont publiés chez Four Music en Allemagne et V2 en France. Les titres « How Will I Know », « Catch a Moment in Time », « Fighting Away The Tears » (un duo avec Feist) font connaitre son jazz-hip-hop aux mélodies entêtantes et aux atmosphères contemporaines, des cabarets de Berlin au festival de Glastonbury en Angleterre.

En 2009, il publie sur le label Bruxellois Crammed Discs, Saskamodie, un album « retro-futuriste » de jazz, entièrement acoustique, enregistré à Paris aux Studios Ferber. Mocky y est crédité en tant qu’auteur-compositeur, joueur de guitare, batterie, piano et orgue, arrangeur, et considère cette nouvelle expérience comme un enregistrement live plus que comme un album studio. Cet artiste n’a pas fini de surprendre.


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